Le 9 octobre 2024, une mesure de soins psychiatriques sans consentement a été demandée pour Mme [J] [P], entraînant une évaluation de sa situation. Le 30 janvier 2025, le directeur du centre hospitalier a requis le maintien de son isolement, initialement instauré le 27 janvier en raison de comportements d’hétéro ou auto-agressifs. Les renouvellements de cette mesure, justifiés par un danger imminent pour la patiente et autrui, ont été effectués conformément aux articles du code de la santé publique. Le 30 janvier, une ordonnance a validé cette mesure, laissant les dépens à la charge de l’État.
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