En 2017, huit membres de Greenpeace France ont pénétré dans le centre nucléaire de Cattenom, escaladant une clôture et découpant des grillages. Interpellés, ils ont été convoqués devant le tribunal pour intrusion dans une installation abritant des matières nucléaires. L’un des participants a été reconnu coupable de complicité, ayant accompagné des journalistes pour documenter l’action. La cour a établi qu’il avait non seulement expliqué le mode d’action, mais aussi donné des instructions pour assurer la couverture médiatique, confirmant ainsi sa participation active à l’intrusion. Sa condamnation a été maintenue, soulignant la responsabilité de ceux qui facilitent de telles actions.
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