L’affaire de contrefaçon impliquant un architecte d’intérieur illustre la complexité de la propriété intellectuelle. En rénovant les chambres d’un hôtel de luxe, il a installé des bas-reliefs inspirés de l’œuvre de Jean BOGGIO. Les juges ont constaté une quasi-similitude entre les têtes de lit et les créations de BOGGIO, notamment la présence de palmiers et d’arbres fruitiers disposés de manière identique. De plus, la présence de ces œuvres dans les chambres, destinées à un public payant, a été jugée comme une communication non autorisée, renforçant l’illégalité de la contrefaçon selon l’article L. 122-4 du code de la propriété intellectuelle.
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