Un stagiaire a été victime de harcèlement moral, illustré par des messages dégradants tels que « charlotte aux fraises » et « petit con », accompagnant des demandes de travail en dehors des heures habituelles. La Cour d’appel d’Amiens a reconnu cette situation, considérant que ces agissements constituaient un abus d’autorité de l’employeur. En conséquence, le stagiaire a obtenu 3 000 euros de dommages et intérêts pour le préjudice moral subi. Cette décision rappelle que le harcèlement moral, selon le Code du travail, porte atteinte aux droits et à la dignité des salariés, altérant leur santé physique ou mentale.
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