Le salarié d’une association culturelle qui renonce à ses salaires risque de devoir rembourser des allocations de chômage, comme l’illustre un cas où plus de 12 000 euros ont été réclamés. Ce comportement soulève des soupçons de faux salariat, surtout si l’association ne possède pas la licence nécessaire pour organiser des spectacles. Des incohérences dans les déclarations de l’association, signalées par le GUSO, ont révélé l’absence de rémunération pour le salarié. Pôle emploi a ainsi prouvé que le salarié n’avait jamais perçu de salaire, confirmant l’absence de contrat de travail.
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