[J] [M], ressortissant moldave, a été placé en rétention administrative le 25 novembre 2024. Le 29 novembre, le tribunal de Boulogne-sur-Mer a prolongé cette rétention de 26 jours. En appel, [J] [M] a contesté cette décision, arguant d’une erreur d’appréciation sur ses garanties de représentation et le manque de diligences administratives. Toutefois, le tribunal a jugé l’appel recevable et a confirmé la prolongation, estimant que l’autorité préfectorale avait des raisons valables de craindre un risque de fuite, en raison de l’absence de liens stables en France et du comportement antérieur de l’intéressé.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.