La détermination du taux d’incapacité permanente partielle (IPP) consécutif à un accident du travail doit tenir compte de la nature de l’infirmité, de l’état général, des facultés physiques et mentales de la victime, ainsi que de ses aptitudes et qualifications professionnelles. La consolidation de l’état de santé est essentielle, l’incapacité étant appréciée à cette date. Pour les séquelles psychiques, le taux d’incapacité pour les névroses post-traumatiques peut varier entre 20 et 40 %. Les éléments intercurrents doivent être dissociés pour une évaluation précise.