Le 22 décembre 2024, la Préfecture des Hautes Alpes a notifié à Monsieur [B] un arrêté d’obligation de quitter le territoire national, accompagné d’une décision de placement en rétention. Interpellé, Monsieur [B] a déclaré être en France depuis 15 jours, sans intention de s’y établir, et a exprimé son désir de rejoindre l’Espagne. Son avocate a contesté la régularité de la garde à vue, tout en demandant la mainlevée de la rétention. La cour a finalement annulé la mesure, soulignant que l’absence d’un interprète lors de la prolongation de la garde à vue avait violé ses droits.
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