Un vendeur et une vendeuse se sont mariés en 1992 sans contrat préalable. Suite à une requête en divorce déposée par la vendeuse en février 2020, une ordonnance de non-conciliation a été rendue, autorisant les époux à résider séparément. En juillet 2022, la vendeuse a assigné son conjoint en divorce, demandant la liquidation et le partage des intérêts patrimoniaux, ainsi qu’une prestation compensatoire de 90 000 euros. Le vendeur a également demandé le divorce sur les mêmes bases, contestant la prestation compensatoire. Le juge a prononcé le divorce, ordonné la liquidation des intérêts patrimoniaux et condamné le vendeur à verser une prestation compensatoire de 50 000 euros.
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