Madame [X] [F] [M] et Monsieur [H] [D] [N], mariés en 2015 au Cameroun, ont demandé le divorce en invoquant l’altération du lien conjugal. Le 24 juillet 2024, Madame a assigné Monsieur, sollicitant diverses mesures, dont la mention du divorce sur leurs actes. En réponse, Monsieur a également demandé le divorce, affirmant la compétence du juge français. Lors de l’audience du 19 décembre 2024, aucune mesure provisoire n’a été requise. Le tribunal a prononcé le divorce le 31 janvier 2025, ordonnant la mention en marge des actes et fixant les effets au 19 novembre 2023, tout en déclarant irrecevable la demande de remboursement des allocations.
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