Monsieur [J] [K] a sollicité un délai de 10 mois pour quitter son logement, suite à un commandement de quitter les lieux. Lors de l’audience du 15 octobre 2024, il a expliqué être sous surveillance électronique en raison d’une peine d’emprisonnement. La société [5] a exprimé son accord pour ce délai. Le juge a examiné la demande, tenant compte de la situation de Monsieur [J] [K], qui a prouvé son emploi à temps plein et son engagement à rembourser ses arriérés de loyer. Finalement, le juge a accordé le délai demandé, permettant à Monsieur [J] [K] de s’organiser pour son relogement.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.