Cour de cassation, 16 janvier 2025, Pourvoi n° 24-11.459
Cour de cassation, 16 janvier 2025, Pourvoi n° 24-11.459

Type de juridiction : Cour de cassation

Juridiction : Cour de cassation

Thématique : Rejet d’un pourvoi et condamnation aux dépens dans une affaire d’ayants droit.

Résumé

Reprise d’instance

Il est donné acte à M. [L], Mme [L] et Mme [C], tous trois pris en leur qualité d’ayants droit d'[D] [J], de leur reprise d’instance.

Rejet du moyen de cassation

Le moyen de cassation, qui est invoqué à l’encontre de la décision attaquée, n’est manifestement pas de nature à entraîner la cassation.

Application de l’article 1014

En application de l’article 1014, alinéa 1er, du code de procédure civile, il n’y a donc pas lieu de statuer par une décision spécialement motivée sur ce pourvoi.

Décision de la Cour

La Cour rejette le pourvoi et condamne la société La Dolce Vita de [Localité 6] aux dépens.

Condamnation financière

En application de l’article 700 du code de procédure civile, la demande formée par la société La Dolce Vita de [Localité 6] est rejetée et celle-ci est condamnée à payer à M. [L], Mme [L] et Mme [C], la somme globale de 3 000 euros.

Prononcé de la décision

Ainsi décidé par la Cour de cassation, deuxième chambre civile, et prononcé par le président en son audience publique du seize janvier deux mille vingt-cinq.

CIV. 2

FD

COUR DE CASSATION
______________________

Audience publique du 16 janvier 2025

Rejet non spécialement motivé

Mme DURIN-KARSENTY, conseiller doyen
faisant fonction de président

Décision n° 10062 F

Pourvoi n° B 24-11.459

R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E

_________________________

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS
_________________________

DÉCISION DE LA COUR DE CASSATION, DEUXIÈME CHAMBRE CIVILE, DU 16 JANVIER 2025

La société La Dolce Vita de [Localité 6], société civile immobilière, dont le siège est [Adresse 4], a formé le pourvoi n° B 24-11.459 contre l’arrêt rendu le 7 décembre 2023 par la cour d’appel de Paris (pôle 1, chambre 10), dans le litige l’opposant :

1°/ à [D] [J], ayant été domiciliée [Adresse 2], décédée le 16 avril 2024,

2°/ à Mme [E] [L], épouse [S], domiciliée [Adresse 3],

3°/ à M. [M] [L], domicilié [Adresse 1] (Royaume-Uni),

4°/ à Mme [V] [C], domiciliée [Adresse 5],

tous trois pris en leur qualité d’ayants droit d'[D] [J], décédée.

défendeurs à la cassation.

Le dossier a été communiqué au procureur général.

Sur le rapport de Mme Bohnert, conseiller référendaire, les observations écrites de la SCP Boullez, avocat de la société La Dolce Vita de [Localité 6], de la SARL Boré, Salve de Bruneton et Mégret, avocat de M. [L], Mme [L] et Mme [C], tous trois pris en leur qualité d’ayants droit d'[D] [J], décédée, et l’avis de M. Adida-Canac, avocat général, après débats en l’audience publique du 27 novembre 2024 où étaient présentes Mme Durin-Karsenty, conseiller doyen faisant fonction de président, Mme Bohnert, conseiller référendaire rapporteur, Mme Vendryes, conseiller, et Mme Sara, greffier de chambre,

la deuxième chambre civile de la Cour de cassation, composée des président et conseillers précités, après en avoir délibéré conformément à la loi, a rendu la présente décision.

1. Il est donné acte à M. [L], Mme [L] et Mme [C], tous trois pris en leur qualité d’ayants droit d'[D] [J], de leur reprise d’instance.

2. Le moyen de cassation, qui est invoqué à l’encontre de la décision attaquée, n’est manifestement pas de nature à entraîner la cassation.

3. En application de l’article 1014, alinéa 1er, du code de procédure civile, il n’y a donc pas lieu de statuer par une décision spécialement motivée sur ce pourvoi.

 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Chat Icon