L’exploitation de sites de vente en ligne aux noms similaires, « géants-beaux-arts.fr » et « beauxarts.fr », peut engendrer un risque de confusion chez les consommateurs. La société Gerstaecker a signalé des cas où des clients ont confondu les deux entités, entraînant des demandes en concurrence déloyale. Toutefois, la cour d’appel a jugé que, bien que des confusions aient été constatées, elles n’étaient pas préjudiciables à Gerstaecker. En ne tenant pas compte du préjudice moral potentiel découlant de cette confusion, la cour a violé l’article 1240 du code civil, qui stipule que tout acte causant un dommage doit être réparé.
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