M. [F] [W] [U], de nationalité angolaise, a été placé en rétention administrative par le Préfet de Loire-Atlantique suite à un arrêté du 25 octobre 2024, lui ordonnant de quitter la France. Contestant la prolongation de sa rétention, M. [U] a fait appel, arguant d’un manque d’examen approfondi de sa situation. Malgré ses recours, la Cour d’Appel a confirmé la prolongation le 30 octobre, puis à nouveau le 25 novembre. Lors de l’audience du 27 novembre, M. [U] a plaidé pour l’infirmation de l’ordonnance, mais la Cour a finalement validé la décision du magistrat, laissant les dépens au Trésor Public.
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