Une société condamnée pour contrefaçon peut demander la révision de la communication judiciaire si celle-ci nuit gravement à sa réputation. Dans l’affaire Punto Fa / Mango France, le tribunal a ordonné la publication d’une condamnation de 1,5 million d’euros, ce qui a été jugé excessif. Les sociétés ont argumenté que cette publication, diffusée mondialement, risquait de ternir leur image de manière irréversible, même en cas d’infirmation du jugement. La cour a reconnu le risque de discrédit et a suspendu l’exécution provisoire des mesures de publication, tout en maintenant les autres aspects de la condamnation.
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