Dans l’affaire de la chaîne TV Canal 23, le fondateur a été accusé d’escroquerie concernant l’attribution de la chaîne, entraînant sa détention provisoire. Malgré des critiques virulentes sur les réseaux sociaux, il a été débouté de son action en diffamation. La cour a jugé que les propos tenus s’inscrivaient dans un débat d’intérêt général, soutenus par un rapport parlementaire évoquant des manœuvres douteuses. La bonne foi a été reconnue, car les accusations reposaient sur des bases factuelles suffisantes, sans animosité personnelle. Ainsi, la liberté d’expression a prévalu, et la responsabilité du cédant n’a pas été engagée.
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