Thomas Langmann a obtenu la condamnation de l’éditeur du magazine Closer pour diffamation. Les accusations portées à son encontre, notamment celle d’avoir laissé entrer des dealers chez lui en présence de ses enfants et d’avoir acquis de la cocaïne, ont été jugées sans base factuelle suffisante. La cour a souligné que les journalistes n’avaient pas vérifié les informations, se contentant de reproduire des allégations non prouvées. En conséquence, M. E F, directeur de publication, a été condamné à verser 1 000 euros de dommages et intérêts à M. Langmann, tandis que la société REWORLD MEDIA MAGAZINES a été déclarée civilement responsable.
Accéder immédiatement à ce contenu juridique Premium et Télécharger des modèles de contrats en illimité
Laisser un commentaire