Cour d’appel de Paris, 26 janvier 2022
Cour d’appel de Paris, 26 janvier 2022
La liberté d’expression du salarié est encadrée par des limites, notamment en ce qui concerne les injures. Les insultes répétées à l’encontre d’un représentant de l’entreprise peuvent constituer une faute grave, justifiant un licenciement. Selon l’article L.1235-1 du code du travail, le juge évalue la régularité de la procédure de licenciement et la réalité des motifs avancés par l’employeur. En cas de doute, celui-ci profite au salarié. Ainsi, l’employeur doit prouver la véracité des griefs formulés, car une faute grave rend impossible le maintien du salarié dans l’entreprise.

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