Dans l’affaire opposant M. [E] [A] et M. [Z] [R] à la cour d’appel de Paris, la question de la liberté d’expression face à la satire politique a été centrale. Les prévenus, condamnés pour injure publique envers Mme [D] [H] en raison de son origine, ont vu leur jugement critiqué pour son manque de fondement. La cour a souligné que l’appréciation du caractère injurieux doit être objective et contextualisée. En effet, les propos, issus d’une œuvre de fiction, visaient à dénoncer les horreurs de l’esclavage, et non à discriminer. La protection de la liberté d’expression et artistique demeure essentielle dans ce contexte.
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