Un journaliste de BFM TV a obtenu la reconnaissance judiciaire de son burn-out, causé par des horaires décalés. Sur un cycle de douze semaines, il travaillait sept semaines en alternance, incluant des nuits. La société n’a pas respecté ses obligations de suivi médical, malgré les rappels des délégués du personnel. Cette négligence a contribué à la dégradation de sa santé, entraînant des arrêts de travail. La formation sur le travail de nuit mise en place par l’employeur n’a pas suffi à le dégager de sa responsabilité. Le tribunal a confirmé que l’inaptitude du salarié était d’origine professionnelle.
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