Le 25 novembre 2024, [P] [T], ressortissant algérien, a été placé en rétention administrative suite à un arrêté préfectoral. Le 28 novembre, le préfet de l’Ain a demandé une prolongation de cette mesure, tandis que [P] [T] a contesté la régularité de son placement. Le juge des libertés a rejeté sa requête, prolongeant la rétention de vingt-six jours. En appel, l’avocat de [P] [T] a soulevé un défaut de motivation et une erreur d’appréciation. Cependant, le juge a confirmé la décision initiale, considérant que les justifications de la rétention étaient fondées et que [P] [T] ne présentait pas de garanties suffisantes.
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