Le 24 septembre 2024, un dirigeant d’entreprise a été mis en examen et placé en détention provisoire dans le cadre d’une enquête. Le 28 octobre 2024, le juge des libertés et de la détention a rejeté la demande de mise en liberté formulée par ce dirigeant. En appel, il a contesté cette décision, arguant que la détention n’était pas le seul moyen d’atteindre les objectifs légaux, et que des mesures alternatives comme le contrôle judiciaire auraient suffi. La cour a reconnu que le juge devait justifier le rejet de la demande, mais n’a pas suffisamment expliqué l’insuffisance des alternatives, rendant la décision contestable.
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