L’appel au boycott, bien qu’il puisse susciter des controverses, ne constitue pas nécessairement une incitation à la discrimination. Dans une affaire récente, un directeur de publication a été relaxé après avoir diffusé une vidéo sur un site internet, où des militants appelaient au boycott des produits israéliens. Les propos tenus, traduits en français, dénonçaient l’impact de ces achats sur les enfants palestiniens. La chambre de commerce France Israël, qui a tenté de se constituer partie civile, a été déboutée, car ses statuts ne prévoyaient pas la lutte contre le racisme, ce qui a conduit à son irrecevabilité.
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