Dans cette affaire, le créancier poursuivant est une société de crédit, représentée par ses avocats. Les débiteurs saisis sont un couple, un débiteur masculin de nationalité portugaise et une débiteur féminin de nationalité française, tous deux représentés par le même avocat. Lors de l’audience, le couple débiteur a demandé l’autorisation de vendre le bien immobilier saisi à un prix minimum de 200.000 euros. Le créancier a exprimé son accord pour cette vente amiable, à condition que les frais soient taxés. Le juge a autorisé la vente, stipulant que les frais de poursuite seraient à la charge de l’acquéreur.
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