Le licenciement d’un salarié pour inaptitude a été confirmé, malgré sa contestation devant le conseil de prud’hommes. Bien qu’il ait été hospitalisé pour des crises d’angoisse, l’employeur a prouvé qu’il n’était pas en arrêt de travail pour une maladie professionnelle. En outre, le salarié a été actif sur les réseaux sociaux durant son arrêt, participant à des événements professionnels, ce qui a conduit le médecin conseil de la CPAM à juger ses arrêts non justifiés. Les juges ont également noté que ses problèmes de santé n’étaient pas liés à son emploi, rendant ainsi le licenciement valide.
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