Dans le cadre de l’application de l’article R. 213-12-2 du code de l’organisation judiciaire, un interprète en langue arabe a prêté serment pour assister à l’audience. L’affaire concerne un étranger, un jeune homme de nationalité algérienne, soumis à des mesures d’éloignement du territoire français. Le préfet a demandé une prolongation de la rétention, justifiant cette demande par la nécessité de maintenir l’intéressé en rétention. L’avocat commis d’office a soutenu que l’intéressé ne représentait pas une menace pour l’ordre public. Le tribunal a finalement rejeté la demande de prolongation et ordonné la remise en liberté de l’intéressé.
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