Le 6 septembre 2024, un étranger, désigné comme un retenu, a été contrôlé lors d’un contrôle routier, entraînant son placement en retenue administrative. Le lendemain, le préfet a notifié à cet étranger une obligation de quitter le territoire français, assortie d’une interdiction de retour pendant cinq ans. Le 20 novembre 2024, le préfet a saisi le juge des libertés et de la détention pour demander une prolongation exceptionnelle de la rétention. Le juge a refusé, estimant qu’il n’était pas prouvé que l’étranger représentait une menace grave à l’ordre public. Le Ministère public a interjeté appel de cette décision.
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