La personne faisant l’objet de soins psychiatriques est représentée par un avocat commis d’office. Cet avocat demande la mainlevée de la mesure d’isolement dont fait l’objet son client. Le tuteur de la personne concernée n’a pas formulé d’observations, tandis que le ministère public sollicite le maintien de la mesure. Le conseil de la personne sous soins psychiatriques soulève une irrégularité, arguant qu’il n’a pas pu s’entretenir avec son client en raison de sa sédation. Un certificat médical atteste que cette sédation était due à son état de santé. Le juge autorise la poursuite de la mesure d’isolement au-delà de 96 heures.
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