En 2013, un époux de nationalité ivoirienne et une épouse de nationalité ivoirienne se sont mariés en Côte d’Ivoire sous le régime de la communauté de biens. En juillet 2024, l’époux a assigné l’épouse en divorce devant le Tribunal judiciaire de Versailles, sans que celle-ci ne se défende. Lors de l’audience de décembre 2024, l’époux a renoncé aux mesures provisoires. En janvier 2025, le juge aux affaires familiales a prononcé le divorce pour altération du lien conjugal, fixant les effets du divorce au 5 avril 2016, date de séparation, et a précisé les conséquences sur l’usage du nom et les avantages matrimoniaux.
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