Un vendeur et une vendeuse se sont mariés en 1992 sans contrat préalable. Suite à une requête en divorce déposée par la vendeuse en février 2020, une ordonnance de non-conciliation a été rendue en mars 2021, attribuant la jouissance du domicile conjugal au vendeur. En juillet 2022, la vendeuse a assigné son conjoint en divorce, demandant le prononcé du divorce pour altération définitive du lien conjugal et une prestation compensatoire de 90 000 euros. Le juge a déclaré le divorce, a condamné le vendeur à verser une prestation compensatoire de 50 000 euros, et a invité les parties à procéder à la liquidation de leurs intérêts patrimoniaux.
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