En 1991, un vendeur et une vendeuse se sont mariés sans contrat préalable, le mariage étant transcrit au consulat de France. Le 29 juillet 2024, le vendeur a assigné la vendeuse en divorce, demandant plusieurs mesures au Juge aux affaires familiales, y compris le prononcé du divorce et la non-conservation de l’usage du nom marital par la vendeuse. Malgré l’assignation, la vendeuse n’a pas constitué avocat. Le Juge a prononcé le divorce en appliquant la loi française et a ordonné la mention du jugement en marge des actes de mariage et de naissance. Les parties doivent procéder à un partage amiable de leurs intérêts patrimoniaux.
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