M. [D] [P], de nationalité algérienne, a été interpellé à plusieurs reprises pour violences conjugales entre 2020 et 2024. Malgré le retrait de la plainte de sa compagne, ses antécédents soulèvent des inquiétudes quant à son comportement. Le 30 janvier 2025, le tribunal de Paris a ordonné sa remise en liberté, tout en lui rappelant son obligation de quitter le territoire. Cependant, le procureur a interjeté appel, demandant un effet suspensif. L’absence de garanties de représentation a conduit à la décision de maintenir M. [D] [P] à la disposition de la justice jusqu’à l’audience du 1er février 2025.
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