Madame [P] [M], embauchée en mai 2015, a déclaré un syndrome anxio-dépressif majeur, entraînant un arrêt de travail prolongé. Après une enquête administrative, la caisse a transmis son dossier au comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles, qui a rendu un avis défavorable, soulignant l’absence de lien entre la maladie et le travail. Suite à son licenciement en octobre 2020, Madame [M] a contesté la décision devant le tribunal, demandant un nouvel avis et une indemnisation. Le tribunal a finalement rejeté sa demande, confirmant l’absence de reconnaissance de la maladie professionnelle et ordonnant l’exécution provisoire du jugement.
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