Mme [J], ressortissante géorgienne, est entrée en France en 2011 et a tenté de régulariser sa situation depuis son retour en 2018. Le 9 janvier 2025, elle a reçu un arrêté d’obligation de quitter le territoire et a été placée en rétention administrative. Son appel contre la prolongation de cette rétention a été jugé recevable, mais la cour a confirmé la décision initiale. L’utilisation de la visioconférence lors de l’audience a été validée, et la cour a estimé que le placement en retenue était conforme aux lois en vigueur, en raison du risque de fuite de Mme [J].
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