La personne retenue a été informée de ses droits en présence d’un interprète assermenté. L’audience a impliqué l’avocat de la personne, Me Séverine Meunier, et Me ZERAD, représentant le préfet. Le juge a examiné la légalité de la rétention, la jugeant régulière. Il a noté que le refus de la personne d’être présentée aux autorités consulaires a entravé l’éloignement. La prolongation de la rétention a été décidée pour trente jours, à compter du 12 janvier 2025, en raison de l’impossibilité d’une assignation à résidence. La décision est susceptible d’appel dans les 24 heures suivant sa notification.
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