M. [U] [F], né le 24 juillet 1996 en Algérie, est en rétention administrative depuis le 1er janvier 2025. Son conseil conteste la légalité de ce placement, arguant qu’un recours est en cours contre l’obligation de quitter le territoire français. La préfecture, après avoir examiné sa situation personnelle, a conclu qu’il ne présentait pas de garanties suffisantes pour une assignation à résidence. La décision finale rejette le recours et prolonge sa rétention de 26 jours supplémentaires à compter du 5 janvier 2024, tout en lui rappelant ses droits à l’assistance et à la communication avec son consulat.
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