Le ministre de l’Intérieur, par l’intermédiaire du préfet de police, a interjeté appel concernant le maintien de Mme [K] en zone d’attente à l’aéroport de [2]. Le tribunal judiciaire de Bobigny a initialement ordonné la restitution de ses affaires personnelles, mais l’appel du préfet a contesté cette décision. Le tribunal a rappelé que le maintien ne peut excéder quatre jours sans autorisation judiciaire et a noté que des éléments démontrant la capacité de Mme [K] à subvenir à ses besoins n’avaient pas été pris en compte. Finalement, le tribunal a décidé de prolonger son maintien pour huit jours.
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