[E] [N], citoyen angolais, a été placé en rétention administrative le 2 décembre 2024 en raison d’une obligation de quitter le territoire français. Le 4 décembre, un magistrat a prolongé sa rétention de 26 jours, décision confirmée malgré un appel jugé irrecevable. Le 31 décembre, une nouvelle prolongation de 30 jours a été accordée. [E] [N] a contesté cette prolongation, invoquant des problèmes de santé l’ayant empêché de se présenter aux auditions consulaires. Le tribunal a finalement confirmé la prolongation, soulignant que l’obstruction venait de [E] [N] et que les autorités avaient agi avec diligence.
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