Le tribunal a annulé l’arrêté de placement en rétention administrative, constatant des erreurs d’appréciation. Il a souligné que l’administration n’avait pas pris en compte la durée de résidence de l’intéressé en France, ses liens familiaux et la possibilité de récupérer son passeport. En conséquence, la demande de prolongation de la rétention a été rejetée. L’intéressé, assisté par son avocat, a été informé de ses droits et a exprimé son souhait d’être représenté. Le tribunal a ordonné sa remise en liberté dans un délai de vingt-quatre heures, tout en lui rappelant son obligation de quitter le territoire national.
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