M. [T] [C], ressortissant algérien, est entré en France en janvier 2024. Le 23 décembre 2024, il a été condamné à dix mois de prison avec sursis et à une interdiction de territoire de deux ans pour détention de faux documents. Placé en rétention administrative le 24 décembre, sa rétention a été prolongée de vingt-six jours. M. [T] [C] a interjeté appel, contestant la légalité de la procédure et l’appréciation du préfet. Toutefois, le tribunal a jugé l’appel recevable, mais a déclaré irrecevable le moyen sur la privation de liberté, confirmant la légalité de la rétention.
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