La personne retenue a été informée de ses droits conformément au Code de l’entrée et du séjour des étrangers. Lors de l’audience, les avocats ont présenté leurs observations. Le juge a confirmé la légalité de la rétention, soulignant l’absence d’irrégularités. L’impossibilité d’exécuter la mesure d’éloignement est due à l’absence de document de voyage, nécessitant des recherches sur la nationalité. Les autorités consulaires gabonaises ont été sollicitées pour identification. La décision de prolonger la rétention de trente jours a été prise, avec possibilité d’appel dans les 24 heures et droits d’assistance garantis à la personne retenue.
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