Monsieur [X] [T], de nationalité serbe, a été placé en rétention administrative par le Préfet du Nord le 30 novembre 2024, avec interdiction de retour en France. Le 29 décembre, une demande de prolongation de cette rétention pour une durée maximale de trente jours a été formulée, justifiée par l’impossibilité d’exécuter la décision d’éloignement. Bien que l’intéressé ait souhaité être assisté par un avocat, ce dernier n’a pas présenté d’observations. Le tribunal a finalement autorisé la prolongation, soulignant l’absence de moyens de transport comme motif principal de la non-exécution de l’éloignement.
Accéder immédiatement à ce contenu juridique Premium et Télécharger des modèles de contrats en illimité
Laisser un commentaire