Monsieur [M] [Y], de nationalité marocaine, a été placé en rétention administrative après une obligation de quitter le territoire français. Le 29 décembre 2024, le Préfet du Nord a demandé une prolongation de cette rétention, justifiée par le comportement de l’intéressé. Cependant, son avocat a contesté cette demande, arguant qu’il n’y avait pas eu d’obstruction. Le tribunal a finalement rejeté la prolongation, constatant que l’administration n’avait pas prouvé l’urgence de la situation. Monsieur [M] [Y] a été libéré dans les vingt-quatre heures, avec des instructions sur ses droits et son obligation de quitter le territoire.
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