Le juge, après avoir rappelé les droits de la personne retenue, a examiné la légalité de la rétention, confirmant sa régularité. Aucune irrégularité n’a été soulevée concernant la première prolongation. Malgré les efforts de l’administration pour exécuter la mesure d’éloignement, celle-ci n’a pas pu être mise en œuvre en raison de l’absence d’un laissez-passer consulaire. En conséquence, le juge a décidé de prolonger la rétention de trente jours, à compter du 27 décembre 2024, pour permettre l’exécution de cette mesure. La décision a été prononcée publiquement le 28 décembre 2024 au palais de justice du Mesnil-Amelot.
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