En 2013, [P] [U] est décédé, laissant son épouse, Mme [J] [D], et leurs deux filles, Mme [L] [U] et Mme [H] [U]. Son testament, daté de 1989, léguait tous ses biens à Mme [J] [D], qui a opté pour un quart en pleine propriété. Suite à des tentatives de partage amiable échouées, Mme [H] [U] a assigné les autres héritiers en 2021 pour demander l’ouverture des opérations de partage. Le tribunal a ordonné le partage judiciaire, désignant Maître [C] [S] comme notaire, et a rejeté la demande de dommages et intérêts de Mme [J] [D].
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