Les applications mobiles de mise en relation, comme celles reliant clients et chauffeurs de taxi, sont considérées comme des « services de la société de l’information » si elles ne font pas partie intégrante d’un service de transport. Cette qualification permet à ces applications de bénéficier du principe de non-autorisation préalable, conformément à la directive sur le commerce électronique. La CJUE a confirmé que des services comme Star Taxi App répondent à cette définition, car ils sont fournis à distance et à la demande, même si le service est gratuit pour l’utilisateur final.
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