L’affaire NADGATIMO illustre les conséquences de la fraude au phishing. La société a communiqué ses codes secrets à un escroc se faisant passer pour un conseiller QONTO, entraînant des virements frauduleux. Le tribunal a jugé que la banque OLINDA n’était pas responsable, car les opérations avaient été authentifiées par la société, malgré la négligence grave de celle-ci. En vertu des articles L.133-6 et L.133-19 du code monétaire et financier, le consentement du payeur est essentiel. Ainsi, NADGATIMO a été déboutée de sa demande de remboursement, soulignant l’importance de la vigilance face aux tentatives de phishing.
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