La diffamation est jugée avec plus de souplesse pour les hommes politiques. Dans l’affaire concernant Marcel FRANCISCI, le magazine Le Point a été autorisé à relater une procédure judiciaire le visant, en tant que vice-président du conseil général. Bien que l’article utilise un vocabulaire peu flatteur, comme « taulier » ou « patriarche du clan », cela ne constitue pas une imputation diffamatoire. Les journalistes se sont limités à évoquer des soupçons de délits sans détailler les faits, respectant ainsi la liberté de ton. La Cour européenne souligne que les hommes politiques doivent accepter une plus grande tolérance à la critique.
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