Le licenciement d’un journaliste pour refus de corrections ne peut être considéré comme une faute grave si l’employé n’a pas eu l’intention de contester l’autorité de ses supérieurs. Dans cette affaire, la commission arbitrale a jugé que l’acte reproché était isolé et que la salariée, en agissant selon sa compréhension des exigences éthiques, n’avait pas agi de manière insubordonnée. Le conseil de prud’hommes a également souligné que les comportements en question relèvent d’un débat normal en rédaction, rendant la sanction du licenciement disproportionnée, surtout après sept ans de service sans reproches.
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