L’Autorité de la concurrence a examiné les risques de pratiques anticoncurrentielles liés à la sortie massive de films post-COVID. En mars 2021, environ 400 films attendaient leur sortie, nécessitant un rythme de 50 à 60 films par semaine, bien au-delà de la moyenne habituelle de 14. Un accord temporaire entre distributeurs pour réguler ce calendrier pourrait constituer une entente prohibée, mais pourrait bénéficier d’une exemption individuelle sous certaines conditions. L’objectif serait de préserver la diversité cinématographique tout en garantissant un accès équitable aux spectateurs, dans un contexte exceptionnel marqué par des restrictions sanitaires.
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